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Le Brochet      La Truite Fario      L'Ombre      Le Vairon      L'Omble Chevalier     La Perche      Le Sandre      Le Féra

La Truite Arc-en-Ciel      La Truite de Lac       Le Cristivomer       La Lotte de Rivière       Le Saumon de Fontaine

Discounteo

Dénomination : Brochet

Nom scientifique : Esox Lucius

Famille : Ésocidés

surnom : Requin de rivière

Le Brochet commun, poisson téléostéen de la famille des ésocidés. Fréquent dans les eaux calmes, c'est un carnivore dont la gueule comporte plus de 700 dents acérées. Très vorace, il se pêche généralement au vif et au lancer, les leurres à utiliser sont la cuillère et les poissons nageurs.

Le brochet d'Europe a une silhouette allongée, sa nageoire dorsale est placée très en arrière. Son museau aplati lui donne une physionomie caractéristique. Sa couleur est grise, avec des taches plus claires.

Le brochet mesure habituellement de 40 à 70 cm, la femelle est plus grande que le mâle, et peut atteindre 1,50 m. Son poids record est de 22 kg. Cette espèce mène une existence casanière dans les eaux courantes et dormantes d'Europe du nord de l'Asie et de l'Amérique du Nord, il préfère les eaux de plaine, mais peut monter jusqu'à 1 500 mètres dans les Alpes. La reproduction commence dès le mois de février.

Le brochet chasse à l'affût, il attend sa proie caché dans la végétation aquatique, quand elle se présente, il se propulse vers elle d'un 

vigoureux coup de queue. Ses proies sont très variées, des poissons, des grenouilles, des rongeurs aquatiques, de jeunes canards et poules d'eau. Il lui arrive de tenter de saisir des cygnes, des loutres, et même les jambes des baigneurs.  

Après avoir avalé sa proie, le brochet s'immobilise au fond de l'eau, sa digestion dure parfois cinq jours.

Les jeunes brochets grandissent très vite et la longévité de l'espèce pourrait atteindre trente ans. Les brochets se mangent entre eux et ce cannibalisme permet de maintenir leur population à un niveau raisonnable. L'espèce joue un rôle écologique important, en éliminant les poissons malades, c'est pourquoi le brochet est parfois introduit volontairement dans certains plans d'eau.

Le brochet est également élevé en vivier pour sa chair très appréciée.

Il existe plusieurs espèces de brochet. La plus impressionnante est le maskalonge (Esox masquinongy) d'Amérique du Nord qui peut mesurer jusqu'à 2,40 m et peser 55 kg.

Dessin D. BRUNET © ADAPRA

Dénomination : omble chevalier

Nom scientifique : Salvelinus alpinus

Famille : Salmonidés

Distrigame

L'omble chevalier est un poisson originaire des zones arctiques, isolé dans les lacs alpins depuis les périodes glaciaires.
L'omble est donc, en France, un poisson essentiellement lacustre, vivant dans les eaux profondes froides et bien oxygénées, il se tient en général entre 30 et 70 mètres de fond.

L'omble se nourrit d'organismes planctoniques et de jeunes poissons.

 La ponte a lieu en profondeur en hiver sur des zones de graviers appelées omblières qui se trouvent dans des eaux agitées par des courants et à une température de 5°C environ.

Au moment de la reproduction, l'omble a des teintes éclatantes, notamment sur le ventre qui prend une couleur rouge prononcée.

L'omble est le poisson noble des grands lacs alpins par excellence.

Dessin D. BRUNET © ADAPRA

Dénomination : saumon de fontaine

Nom scientifique : Salvelinus fontinalis

Famille : Salmonidés

Malgré son nom, n'a rien à voir avec le saumon. On l'appelle aussi parfois omble de fontaine.

Plantes et Jardins

Poisson originaire d'Amérique du nord (importé en 1884), il est bien établi maintenant dans de nombreuses régions d'Europe mais reste peu abondant encore dans les milieux naturels. Il s'agit essentiellement d'une espèce de pisciculture, sa longévité est de 3 à 5 ans et la maturité des géniteurs est donc précoce. Il se reproduit sur des zones de graviers, dans des eaux vives.

La ponte a lieu entre octobre et janvier.

Le saumon de fontaine se nourrit surtout d'invertébrés, mais aussi de

 poissons pour les adultes de grande taille.

Son élevage en pisciculture est difficile car l'espèce est exigeante et très sensible aux pollutions, elle demande des eaux de très bonne qualité, froides, limpides et courantes. Cependant il est intéressant à produire car sa chair fine au goût délicat est très appréciée.

Les techniques de son élevage sont celles traditionnellement utilisées pour la truite arc-en-ciel : reproduction contrôlée et alimentation artificielle.

Dessin D. BRUNET © ADAPRA

Dénomination : Truite commune ou Truite fario

Nom scientifique : Salmo trutta fario

Famille : Salmonidés

Surnom : La Dame mouchetée

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Cette truite commune est l'espèce autochtone de nos rivières françaises. Elle y vit dans des eaux vives, froides et bien oxygénées.

La truite est un carnivore se nourrissant surtout d'invertébrés aquatiques, d'insectes tombés des berges, de petits vers de terre, de différentes larves d'insectes et de petits poissons qui partagent son environnement.
Sa longévité peut atteindre une quinzaine d'années.

De forme élancée, elle est taillée pour lutter efficacement contre le courant et capable de démarrages foudroyants pour fondre sur ses proies. Ses couleurs très variables sont fonction du milieu où elle habite et de la souche dont elle est issue, en général le ventre est blanc pour devenir doré tirant sur le brun clair en remontant vers les flancs qui se foncent à leur tour vers le dos.

La coloration générale peut varier de très clair à très sombre suivant le biotope qu'elle fréquente.

La taille et le poids sont sujets à de grands écarts, en rivière la taille moyenne se situe entre 20 et 35 cm pouvant aller jusqu'à 40 cm. Une truite de haute montagne dépasse à peine les 100 g et une truite de rivière calcaire de plaine peut atteindre 4 à 5 livres.

La truite fario est mature dès l'âge de 1 à 2 ans, la reproduction a lieu en hiver (de début novembre à fin janvier), sur les zones amont des ruisseaux où les adultes remontent après une migration plus ou moins longue. La femelle va aménager une dépression dans les graviers et y pondre ses œufs qu'elle recouvrira grossièrement. Les alevins naîtront au bout de 8 à 10 semaines et migreront à leur tour vers l'aval de la rivière où ils établiront chacun leur territoire.

Dénomination : Truite arc-en-ciel

Nom scientifique : Salmo gairdneri

Famille : Salmonidés

La truite arc-en-ciel a la même forme générale que la truite commune. De couleur argentée avec une bande rouge-orangée sur les flancs, elle porte de nombreux points noirs et sa tête est plus petite.

La truite arc-en-ciel paraît plus trapue que la fario. Plus tolérante à la

pollution, elle ne se fixe pas longtemps sur un même poste et accepte plus volontiers la présence de ses congénères.

Elle se défend de façon très spectaculaire et saute souvent hors de l'eau quand elle est prise à l'hameçon.

Dessin D. BRUNET © ADAPRA

Dénomination : truite de lac

Nom scientifique : Salmo trutta lacustris

Famille : Salmonidés

La truite de lac atteint des dimensions nettement supérieures à celles observées chez les truites de rivière. On la trouve dans les grands lacs comme le Léman où, suivant la profondeur, sa robe sera plus ou moins argentée.

La chair des truites de lac est naturellement teintée en rose du fait de la consommation en majeure partie de crustacés planctoniques.

La reproduction a lieu en hiver, à ce moment là, les truites de lac

quittent habituellement les eaux lacustres pour gagner les affluents où elles trouveront des eaux vives.

La femelle creuse, a l'aide de sa queue, une petite cuvette dans laquelle elle dépose les œufs que le mâle vient féconder. Les œufs sont ensuite recouverts de graviers.

Une truite de lac peut vivre une vingtaine d'années.

Dénomination : Ombre

Nom scientifique : Thymallus thymallus

Famille : Salmonidés

Poisson voisin de la truite à ne pas confondre avec l'omble

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L'ombre est, en principe, répandu dans toute l'Europe, sauf les régions les plus méridionales. Il mange des petits crustacés et des vers, mais l'essentiel de sa nourriture est constitué par les insectes aquatiques et leurs larves. Il happe aussi certains insectes aériens lorsque ceux-ci se posent à la surface.

L'ombre est un poisson grégaire qui fréquente les eaux claires et fraîches, la température de 18°C semble être un seuil important pour cette espèce, des températures de 23 à 24°C sont des limites physiologiques. L'ombre doit son nom à la rapidité avec laquelle il disparaît, c'est en effet un poisson très agile, proche parent du saumon, auquel il ressemble par l'aspect et par les mœurs. Il s'en distingue par la taille très grande de sa nageoire dorsale, ainsi que par ses couleurs.

L'ombre commun est un poisson fusiforme, élancé. Le corps est recouvert d'écailles de grande taille. La nageoire dorsale caractéristique est haute et très développée, de couleur vive, marquée de taches foncées, parfois nommée étendard. La bouche est petite, l'ensemble de ces caractères différencient nettement l'ombre des autres salmonidés au point d'en faire une famille à part. La coloration de la robe est très variable, suivant les milieux et les conditions 

physiologiques des individus, pouvant aller du gris plus ou moins foncé au brun vert plus ou moins bronzé, les teintes du corps vont du bleu-vert sur le dos au blanc sur le ventre, les flancs argentés sont pointillés de taches noires à l'avant, des lignes sombres en zigzag séparent les rangées d'écailles, sur toute la longueur du corps.

Comme le saumon, l'ombre remonte les torrents pour frayer, franchissant d'un bond les cascades. La reproduction a lieu de mars à mai dans des températures comprises entre 8 et 11°C. L'âge de la maturité sexuelle varie de deux à trois ans. La durée d'incubation des œufs est de l'ordre de 3 à 4 semaines. Le frai se déroule dans le cours supérieur des torrents en eau très peu profonde. Les œufs sont pondus dans des sillons creusés à même le sable. Ils éclosent quelques semaines plus tard, et les petits descendent avec le courant, pour rejoindre les rivières plus importantes.

La taille est souvent comprise entre 30 et 35 cm. Et le poids entre 300 et 400 gr. Certains rares spécimens peuvent atteindre 55 cm et jusqu'à 1,6 kg.

L'ombre ne devrait se pêcher qu'à la mouche du fait des ravages occasionnés par sa pêche au coup. En effet, l'ombre mord trop facilement sur des esches animales, surtout les larves aquatiques.

Dénomination : Cristivomer

Nom scientifique : Salvelinus namaycush

Famille : Salmonidés

Autres noms communs et locaux : omble du canada, omble gris, truite grise

Le cristivomer présente les caractères généraux des ombles. Il a une tête fine et pointue. La bouche est largement fendue et l'extrémité du maxillaire dépasse le bord postérieur de l'œil. La coloration est variable suivant le milieu, et l'état physiologique. La robe est souvent à dominante grise avec de nombreuses taches sur l'ensemble du corps, vermiculées sur le dos et la nageoire dorsale. La nageoire adipeuse est mouchetée. Dans les lacs de grande dimension la robe peut prendre une coloration argentée avec disparition presque complète des ornementations. Cette coloration générale est à l'origine du nom de truite grise parfois donnée à cette espèce.
Le cristivomer mesure en moyenne de 40 à 60 cm, pour un poids de 2 à 5 kg. Il peut mesurer jusqu'à 1,25 m et pour 46 kg.
Poisson de lac de montagne par excellence, originaire du nord du continent américain (Canada) il a été introduit en Europe en 1881 sous forme d'œufs. En 1886 la France en avait déjà reçu 50.000. Il a été 

introduit dans 8 lacs pyrénéens en 1955 et 1960, et plus récemment dans les lacs et retenues du Jura et des Alpes.

Dans son pays d'origine, la période de ponte peut varier avec la latitude, les caractéristiques du lac etc., mais la reproduction est hivernale à des températures inférieures à 10°C. Les ovules sont de grande taille (5 à 6 mm). La période d'incubation est longue, variable avec la température (de 15 à 21 semaines), l'éclosion ayant lieu en mars ou avril. La fécondité est faible (de 800 à 2400 ovules par Kg de femelle).
L'âge de la maturité sexuelle est élevé (6 à 7 ans). La durée de vie peut dépasser 20 ans.
Sa pêche est identique à celle de la truite. Le cristivomer est moins méfiant que la plupart des salmonidés. Il se pêche en lac depuis la rive ou en barque. Il mord particulièrement bien au vairon mort manié.

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Dessin D. BRUNET © ADAPRA

Dénomination : Lavaret, féra, corégone

Nom scientifique : Coregonus lavaretus, Coregonus féra

Famille : Salmonidés

Autres noms communs et locaux : palée, bondelle

Les corégones ont le corps recouvert d'écailles assez grandes et, contrairement aux autres salmonidés, sans taches ni marques de couleur. La plupart des corégones sont brun-argentés, gris ou gris bleu.

La longévité de ce poisson est de 10 ans environ, il devient adulte dans sa 3ème ou 4ème année.
Les corégones vivent dans les eaux froides, non polluées, d'Europe du nord, d'Asie et d'Amérique du nord et sont communs dans de 

nombreux lacs, surtout de montagne (Léman, Bourget, Annecy, ...).

Les corégones se déplacent en bancs et se nourrissent de zooplancton et d'invertébrés vivant sur le fond. La reproduction a lieu pendant l'hiver. Les œufs sont déposés sur des fonds pierreux ou rocailleux et éclosent au printemps.

Les corégones sont à la base d'importantes activités de pêche professionnelle dans certaines parties d'Europe (Scandinavie, pays alpins ...), et sont destinés à la consommation.

Dénomination : Vairon

Nom scientifique : Phoxinus phoxinus

Famille : Cyprinidés

Appât de premier ordre pour les salmonidés, ce petit cyprinidé, fréquent surtout dans les eaux claires et courantes des rivières et des lacs, est le seul poisson qui accompagne la truite dans les lacs d'altitude. Le vairon se développe jusqu'à 2500 m d'altitude. Il a le corps allongé, arrondi, analogue à première vue à celui d'une truitelle, dont il se distingue naturellement par l'absence de nageoire adipeuse. Ses écailles sont minuscules, il en a 80 à 90 sur la ligne latérale, mais, vu sa taille, cette ligne est difficile à distinguer, d'autant plus qu'elle s'interrompt par endroits.

Le vairon semble rechercher les zones de courants modérés, les bras latéraux avec de la végétation, les zones d'ombre, les fonds pierreux ou de mélange gravier, sable, vase. Pour le fond, le vairon a une préférence marquée pour des particules minérales de diamètre compris entre 5 et 10 mm et ceci quelque soit la hauteur d'eau, le nombre et l'âge des poissons.

En été les vairons sont des poissons de pleine eau qui vivent en banc. En automne et en hiver les groupes se désagrègent et les individus se cachent dans les trous, sous les pierres ou les racines. Dès lors leur activité est très faible. C'est un poisson de croissance lente, sensible à la concentration en oxygène, vivant au maximum cinq ans. Le régime alimentaire du vairon est assez diversifié. C'est un régime mixte à prédominance animale ou végétale selon les biotopes et l'âge des poissons : larves d'insectes aquatiques, crustacés, vers, algues filamenteuses, élément végétaux....

La ponte a lieu en mai ou juin dans une eau à 15°C, le ventre du mâle, ses pectorales et ses ventrales deviennent rougeâtres, le dos et

la partie antérieure du corps bleu acier ou même tout à fait noirs, bordé de lignes dorées. Cette parure atteint son maximum de somptuosité au moment de l'excitation qui accompagne les combats. Comme de nombreux cyprinidés les mâles présentent aussi des boutons de reproduction sur la tête et autour de la bouche. La femelle gonflée d'œufs a le ventre bombé, rouge aussi, mais ses flancs restent marqués de taches aux contours incertains. La maturité sexuelle survient au cours de la troisième année. Le vairon se reproduit en banc, sur les pierres et les graviers dans les eaux courantes oxygénées et à une faible profondeur, de l'ordre de quelques centimètres. Les œufs sont déposés en galettes et éclosent 5 à 10 jours après la ponte.

Fréquent dans les cours d'eau assez rapides, il se rencontre aussi en rivières calmes, se chauffant au soleil d'été, mais alors il exécute, en bandes, des déplacements parfois considérables, probablement quand l'oxygène pour lequel il est exigeant vient à manquer. Sa nourriture a fait l'objet d'études très poussées. Dans les lacs, il consomme du plancton animal et végétal, ou encore des algues broutées sur le fond. En rivière, son alimentation comporte aussi la faune de fond et les algues filamenteuses. Il est donc nettement omnivore, et s'il avale des œufs de truite, comme on le lui reproche non sans véhémence, ce n'est pour lui qu'un des éléments nutritifs occasionnels que lui offre le fond. Dans les lacs d'altitude, on le voit souvent moucheronner.

Les vairons sont très appréciés pour la pêche au vif. Ceux des rivières de plaine dépassent dix centimètres. En altitude, ils n'atteignent guère que sept à huit centimètres.

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Dessin D. BRUNET © ADAPRA

Dénomination : perche

Nom scientifique : Perca fluviatilis

Famille : Percidés

Autres noms communs et locaux : Perchat, perchot, perchaude

La perche commune est une espèce autochtone que l'on rencontre dans toutes les eaux libres et stagnantes d'altitude moyenne et basse.

C'est un carnassier toujours en mouvement, actif surtout le jour.

La perche se nourrit d'invertébrés et de petits poissons. Elle peut vivre

 10 ans environ et est mature à l'âge de 2-3 ans.

Au printemps, elle pond des œufs en chapelets qui vont adhérer aux végétaux immergés. Les jeunes perches vivent en bancs.

Dénomination : Sandre

Nom scientifique : Stizostedion lucioperca

Famille : Percidés

Autres noms communs et locaux : fogasch, fogosch, perche-brochet, perche du Rhin, sandat

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Les deux nageoires dorsales sont séparées par un court intervalle, la tête, relativement petite se termine par une grande bouche garnie de dents dont 6 particulièrement développées : les canines. Le corps allongé avec de nombreuses écailles, d'aspect rugueux. La ligne latérale se prolonge sur le début de la nageoire caudale. Le dos est verdâtre, les flancs sont vert-jaune marqués par 9 à 11 bandes verticales sombres. Le ventre est jaunâtre ou blanchâtre.

La moyenne des prises se situe entre 1kg et 2kg. Certains spécimens atteignent 1 m et dépassent 10 kg.

Les sandres vivent en bancs d'individus de même taille. Ils chassent en groupe, le plus souvent le soir. Le régime alimentaire est 

essentiellement piscivore.

La ponte s'effectue au printemps vers mars ou avril quand l'eau atteint 15°C. La femelle pond 200.000 œufs très petits adhérant aux végétaux. Les alevins éclosent environ 10 jours plus tard. Le mâle protège le nid pendant 10 à 15 jours.

Ce carnassier, très recherché depuis la raréfaction du brochet, préfère les vifs de petites taille. Il se prend aussi au poisson mort posé sur le fond. Sa défense est peu vigoureuse, le sandre ne coupe pas le Nylon, on peut se passer d'un bas de ligne en acier, mais dans les endroits où le brochet est présent il est préférable d'en mettre un.

Dessin D. BRUNET © ADAPRA

Dénomination : Lotte de rivière

Nom scientifique : Lota lota

Famille : Gadidés

Autres noms communs et locaux : moutelle, bourbotte

La lotte de rivière appartient à la même famille que l'églefin, le merlan, le lieu ou le cabillaud ... mais ne vit qu'en eau douce. C'est un poisson peu commun qui vit dans les eaux froides peu courantes. Le corps est recouvert de petites écailles très fines cachées sous un épais mucus.

La coloration de la lotte varie en fonction de la nature du fond sur lequel elle vit, le dos est en général marbré ou taché de teintes 

foncées, allant du jaune au brun, le ventre est le plus souvent blanc jaunâtre.

La lotte est une espèce aux habitudes nocturnes, assez vorace et carnassière, elle est mature vers l'âge de 3-4 ans. La ponte est hivernale (en février dans les lacs alpins), les œufs sont déposés sur les graviers, parfois assez profondément.

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